La première ressource c’est l’homme. La relation est notre premier outil de travail. « La différence entre un jardin et un désert, ce n’est pas l’eau c’est l’homme » (proverbe arabe).
Nos savoirs sont incomplets. Ils sont expérientiels c.-à-d. dans une interface, dans l’échange de savoirs, dans une réflexion partagée, une co-réflexion. Le savoir est un acte d’humilité.
La supervision est un espace-temps transitionnel et expérientiel.
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C’est :
Un moment, une instance d’écoute et de relance qui doit permettre de se faire entendre au point où on en est dans son rapport à son travail et à sa pratique. Il s’agit de permettre que se déploie du possible créatif.
Un lieu pour parler de sa pratique, de ses désirs et de ses difficultés.
Un endroit où poser ses questions théoriques et techniques ?
Un espace pour interroger ses interrogations, questionner sa pratique, ses croyances, faire des hypothèses plutôt que faire cuire les carottes (sensibilité relationnelle et réalisme perceptif)
aussi un espace-temps pour élaborer son évolution professionnelle (quelle est ma place en tant que professionnel ?).
offrir un lieu où peut être transposé, transféré et travaillé son vécu, un lieu de transfert c.-à-d. de dépôt, de transposition, d’appel de présence de quelqu’un, de l’autre, lieu qui n’appartient ni à l’un ni à l’autre.
utiliser le « GPS » du changement c’-à-d :
Analyser les étapes clés de son cheminement professionnel: définir les moments charnières de sa « carrière » et découvrir ses stratégies – ses atouts et ses leviers, ses craintes et ses freins.
Explorer la dynamique de son cheminement professionnel avec des outils (Roue d’Hudson pour avoir des clés pour anticiper et avancer de manière constructive, l’assertivité, CNV, AT. etc.….