La distance et la proximité suffisamment bonnes 

La distance et la proximité suffisamment bonnes 
Par
La distance sans le lien introduit l’indifférence

 

Le lien sans la distance introduit la dépendance

 

Le lien et la distance conjugués introduisent l’ouverture de soi à ce que vit l’autre, sans être submergé, sans se laisser submerger et sans submerger l’autre par nos «bons» sentiments !

Le piège de la distance, c’est l’indifférence et la banalisation.

Le piège du lien, c’est l’emprise de notre subjectivité.

Deux pièges sont donc à éviter : L’un consiste à se blinder et tenir à distance les plaintes, jusqu’à ne les entendre que comme un murmure habituel, ce qui est le propre de l’indifférence organisée. L’autre de s’y noyer avec le souffrant parce que nous sommes pris dans les rets d’une relation fusionnelle.

Cet article vous a plu? Alors partagez-le !

ultricies amet, odio et, non porta. pulvinar dolor. commodo